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 qu'en penses tu

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g2ll




Masculin Nombre de messages : 6
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Date d'inscription : 13/06/2011

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MessageSujet: qu'en penses tu   qu'en penses tu EmptyLun 13 Juin - 22:28

voici un exemple de jeu, très fun le dernier mot est réutilisé pour construire la ou les phrase suivante exemple

Il est un très vieux chêne, plusieurs fois centenaire, et sa sagesse est réputée dans
dans la forêt de la planète Merlinpinpin, où vivent les salamandos au corps zébré de feu orange
orange comme un abricot. Colbino venait souvent parler avec le chêne mais aujourd'hui, le chêne bougonnait
bougonnait en ces premiers jours de printemps, il est vrai qu'un hêtre plein de charmes, bourgeonnait de toutes parts alors que notre majesté ne voyait en rien le boulot s'activer sur ces ramifications un peu pliées
Plié de rire était Colbino, sans la moindre compassion pour le noble vieillard
vieillard? comment ose t'on haranguer ,que je suis vieux du haut de mes trois siècles, bien d'autres essences plus jeunes ne peuvent vivre un siècle sans se laisser allez en décrépitude, alors que toi Colbino, passeras tu le cap des trois fois vingt, sans perdre une once de mémoire?
- "Méééééé ... moi ... resterai toujours jeune et ne perdrai point ni mes feuilles ni mes dents !" dit Colbino
- " Je te plains Colbino !" répondit le chêne "Moi j'ai la chance de me couvrir d'une nouvelle robe à chaque printemps tandis que toi..."
toâ, toâ, toâ, éructe colbino, marre de tes trucs, quand tu voudras rire, tu m'appelles, hein ! et hop, dans une galipette et un pied de nez, il s'éloigne en chantant, toâ toâ toâ, et moâ moâ moâ
moâ je....... coâ,coâ ,coâ, voila qu'une grenouille s'installe sur l'épaule de Colbino et lui sussure dans les pavillons ces quelques mots à voix basse
basse, très basse, QUOÂ, fait colbino, monte le son , et PTDR, tous les deux, pendant que seigneur chêne, bou-oude
Où devrait-il aller pour un conseil avisé ? se demandait Colbino quand Freezia sa copine arriva toute émoustillée
émoustillé par le son du luth l'oude en forme de poire formait une mélodie reprise en coeur par l'ensemble des passereaux ailé, le choeur formait un chant si beau et si puissant qu'il enveloppait l'ensemble des particules de toutes la forêt, faisant frissonner tout ses habitants
tantontaine et tonton, chantait freezia, on danse, sous le chêne les zamis , y'a Mirlino, qui arrive, avec son biniou
où notre vaillant Mirlino jouait des airs à décoller un ver
Chut ! s'exlama soudainement Colibro, regardez entre le vieux chêne et le hêtre, regardez une porte... Je rêve ?
rêve ! où çà un rêve, vite on y court, mais Chêne et sa copine hêtre se font un clin d'oeil, clac, plus de porte
porte au milieu de nul part, un passage vers d'autres contrées ou un coup du vilain qui attend serein, la voila qui se rematérialise
alise et alice, lalala, se met à hurler de rire le chêne plus bougon du tout, et nos salamandos, s'approchent, gourmands du rêve dans le rêve,
révélés par le rire, de joli bourgeons naissent au grand bonheur de notre sage et doux porteurs de glands
Glandeurs ! s'exclama Merlin vous n'avez pas osé
osé créer le chaos dans la forêt de dame Blanche
Blanche Neige arrive précédée des 7 nains qui chantent : chanter en travaillant .... lalala lèreee
lalala lèreeee....eh oh,eh oh en revenant du boulot poursuivaient les sept mains calleuses souilléesde la sueur de la terre
terre de sienne, le soleil descend, compères fatigués, s'assoient sur un coussin de mousse, et Merlin accroche son chapeau, au Chêne qui tend sa branche, alors ... le rêve s'approche
proche de la réalité, les bras grands ouverts, il appel à la réalisation des songes, à la création de l'inaccessible, à une vision que l'oeil ne peut concevoir seul l'esprit
L'esprit ouvert et alerte lui a appris à voyager dans l'infinie diversité des rêves créateurs qui se tricotent avec le temps et se détricotent dans le vide. Uni avec son bâton qui ne le quitte jamais il voyage,
voyage où, le suivent, nos colbino, freezia, grenouille, sous le porche du rêve, ils pénètrent dans
dans le vortex multidimensionnel qui va les catapulter illico presto - eux et le noble chêne - sur une
une nuageuse planète, qui tangue sans arrêt, où ils sont accueillis par le roi Pliéendeux
Deux fois deux ne faisant plus quatre sur cette fumeuse planète, le roi Pliéendeux fut invité poliment par nos amis à se déplier ... Ce qui eut pour effet de rendre sa majesté PétéeDeRire
PTDR, toute la planète Rigolomania, tangue et roule, tandis que Merlin pleure dans ses hoquets
Qué tsunami de rigolade ! Le chêne secoué de rires en a perdu tous ses glands : les rigolomaniaques ne se doutent pas de ce qui va s'ensuivre sur leur terrenuage !
terrenuage, prend feu, et file toutes tuyères dehors, droit devant, tandis que nos salamandos, aux zébrures jaunes d'or, retiennent grenouille qui, gonflée de fou rire, risque de s'envoler
en vol Ermine sur son aigle tacheté, s'époumone, de grosses larmes lui coule sur les joues, pour enfin atterrir en fines gouttelettes sur terrenuage éteignant de suite ce feu de pailles
paillettes de larmes d'Ermine, le pompier ambulant, qui rigole pas avec le feu, calment les rigolomaniens, qui exhalent encore d'énormes soupirs, en s'appuyant sur le chêne, qui tressaute
Saute ! Mouton et donne ta laine à la grenouille pour qu'elle se fasse une jolie robe pour l'hiver

vers de soie et écharpe de nouille, l'hiver sera froid pour les poules.
Poolevorde étaitt là dans ce poulailler planétaire sans savoir pourquoi ni comment; il se rappelait qu'il était en train de répéter seul son texte pour la prochaine représentation et voilà qu'il se retrouvait parmi les caquètement incessants dans un décor abracadabrant

Anticipant merveilleusement le passage d'un volatile caquetant, sur la cime du chêne, il se réfugiât en compagnie d'un geais au plumage flamboyant, notre compère voulant faire bonne figure l’accueillît de son cri persan,
perçant du même coup ses tympans, il met ses deux mains contre les oreilles ; "non pas possible ! après les poules, le geai !" Où suis-je ? Quelle est cette planète, j'ai mon texte à apprendre ! Poolevorde pète un câble, jette ses feuilles sur les poules qui s'enfuient en caquetant de plus belle quand il entend au-delà des volatiles un bruit surprenant
surprenant notre amis, en équilibre instable sur la plus haute branche, ohé, maître Poelvorde, comme vous êtes grands, si .... à ces mots notre pauvre ère lâcha prise et
et parvient à écouter la musique des oiseaux il comprendra ce qui lui est arrivé. "Mais qui me parle?" lui demanda Poolevoerde. Crouä crouâ le corbeau, celui de Lafontaine qui tenait un fromage; je connais tous les secrets d'ici, tous ceux qui sont venus , tous ceux qui sont partis, tous ceux qui sont restés et tous ceux qui et au final cela à donné

DÉLIRE ONIRIQUE D'UN CHÊNE
avec la complicité des dreamers :
Aapm, Maori, Gc & Célébriän

Il est un très vieux chêne, plusieurs fois centenaire, à la sagesse réputée dans la forêt de la planète Merlinpinpin, où vivent les Salamandos au corps zébré de feu orange comme un abricot.

Colbino venait souvent parler avec le chêne mais aujourd'hui, le chêne bougonnait en ces premiers jours de printemps. Il est vrai qu'un hêtre plein de charmes, bourgeonnait de toutes parts alors que notre majesté ne voyait en rien le boulot s'activer sur ces ramifications un peu pliées.

Plié de rire était Colbino, sans la moindre compassion pour le noble vieillard.

- Vieillard ? Comment ose- t-on haranguer que je suis vieux du haut de mes trois siècles ! Bien d'autres essences plus jeunes ne peuvent vivre un siècle sans se laisser allez en décrépitude, alors que toi Colbino, passeras tu le cap des trois fois vingt, sans perdre une once de mémoire ?

- Méééééé ... moi ... resterai toujours jeune et ne perdrai point ni mes feuilles ni mes dents ! dit Colbino
- Je te plains Colbino ! répondit le chêne
- Moi j'ai la chance de me couvrir d'une nouvelle robe à chaque printemps tandis que toi...

- Toâ, toâ, toâ, éructe Colbino, marre de tes trucs, quand tu voudras rire, tu m'appelles, hein ! Et hop, dans une galipette et un pied de nez, il s'éloigne en chantant, toâ toâ toâ, et moâ moâ moâ
- Moâ je....... coâ,coâ ,coâ,

Voila qu'une grenouille s'installe sur l'épaule de Colbino et lui susurre dans les pavillons ces quelques mots à voix basse, très basse,
- QUOÂ, fait Colbino, monte le son, et PTDR, tous les deux, pendant que seigneur chêne, bou-oude

Où devrait-il aller pour un conseil avisé ? Se demandait Colbino quand Freezia, sa copine, arriva toute émoustillée par le son du luth.
L'oude en forme de poire formait une mélodie reprise en choeur par l'ensemble des passereaux ailé, le choeur formait un chant si beau et si puissant qu'il enveloppait l'ensemble des particules de toute la forêt, faisant frissonner tous ses habitants.

- Tantontaine et tonton, chantait Freezia, on danse, sous le chêne les zamis , y'a Mirlino, qui arrive, avec son biniou : notre vaillant Mirlino jouait des airs à décoller un ver.

- Chut ! S’exclama soudainement Colbino,
- Regardez entre le vieux chêne et le hêtre …
- Regardez … une porte ! ...
- Je rêve ?
- Où çà un rêve, vite on y court !
Mais Chêne et sa copine hêtre se font un clin d'œil : Clac, plus de porte !

Au milieu de nulle part, un passage vers d'autres contrées ou un coup du vilain qui attend serein, voila la porte qui se rematérialise et Alice, lalala, se met à hurler de rire ; le chêne, plus bougon du tout, et nos Salamandos, s'approchent, gourmands du rêve dans le rêve.

Révélés par le rire, de jolis bourgeons naissent au grand bonheur de notre sage et doux porteur de glands.
- Glandeurs ! s'exclama Merlin. Vous n'avez pas osé créer le chaos dans la forêt de dame Blanche !

Blanche Neige arrive, précédée des 7 nains qui chantent :
- Chanter en travaillant .... lalala lèreee ….
- Eh oh, eh oh en revenant du boulot ….
Poursuivaient les sept nains aux mains calleuses souillées de la sueur de la terre de Sienne.

Le soleil descend, les compères fatigués, s'assoient sur un coussin de mousse, et Merlin accroche son chapeau au Chêne qui tend sa branche, alors ... le rêve s'approche de la réalité.

Les bras grands ouverts, il appelle à la réalisation des songes, à la création de l'inaccessible, à une vision que l’œil ne peut concevoir.

Seul l'esprit ouvert et alerte lui a appris à voyager dans l'infinie diversité des rêves créateurs qui se tricotent avec le temps et se détricotent dans le vide. Uni avec son bâton qui ne le quitte jamais il voyage…

Voyage où le suivent nos Colbino, Freezia, Grenouille.

Sous le porche du rêve, ils pénètrent dans le vortex multidimensionnel qui va les catapulter illico presto - eux et le noble chêne - sur une nuageuse planète qui tangue sans arrêt, où ils sont accueillis par le roi Pliéendeux

Deux fois deux ne faisant plus quatre sur cette fumeuse planète, le roi Pliéendeux fut invité poliment par nos amis à se déplier ... Ce qui eut pour effet de rendre sa majesté PétéeDeRire.

PTDR, toute la planète Rigolomania tangue et roule tandis que Merlin pleure dans ses hoquets.

- Qué tsunami de rigolade !

Le chêne secoué de rires en a perdu tous ses glands : les rigolomaniaques ne se doutent pas de ce qui va s'ensuivre sur leur Terrenuage !

Terrenuage, prend feu, et file toutes tuyères dehors, droit devant, tandis que nos Salamandos, aux zébrures jaunes d'or, retiennent Grenouille qui, gonflée de fou rire, risque de s'envoler

En vol Ermine, sur son aigle tacheté, s'époumone ; de grosses larmes lui coule sur les joues, pour enfin atterrir en fines gouttelettes sur Terrenuage éteignant de suite ce feu de paille.

Paillettes de larmes d'Ermine, le pompier ambulant, qui n’rigole pas avec le feu, calment les rigolomaniens, qui exhalent encore d'énormes soupirs, en s'appuyant sur le chêne, qui tressaute.

- Saute ! Mouton. Et donne ta laine à Grenouille pour qu'elle se fasse une jolie robe pour l'hiver : vers de soie et écharpe de nouilles, l'hiver sera froid pour les poules.

Poolevorde était là, dans ce poulailler planétaire, sans savoir pourquoi ni comment ; il se rappelait qu'il était en train de répéter seul son texte pour la prochaine représentation et voilà qu'il se retrouvait parmi les caquètements incessants, dans un décor abracadabrant.

Anticipant merveilleusement le passage d'un volatile caquetant, sur la cime du chêne, il se réfugiât en compagnie d'un geai au plumage flamboyant. Notre compère voulant faire bonne figure l’accueillît de son cri persan, perçant du même coup ses tympans !
Il met ses deux mains contre les oreilles …

- Non pas possible ! Après les poules, le geai ! Où suis-je ? Quelle est cette planète, j'ai mon texte à apprendre !

Poolevorde pète un câble, jette ses feuilles sur les poules qui s'enfuient en caquetant de plus belle quand il entend au-delà des volatiles un bruit surprenant. Notre ami, en équilibre instable sur la plus haute branche,

- Ohé, maître Poolevorde, comme vous êtes grand, si ....

A ces mots notre pauvre hère lâche prise et parvient à écouter la musique des oiseaux et comprend ce qui lui est arrivé.

- Mais qui me parle ? Lui demanda Poolevorde.
- Crouä Crouâ le corbeau, celui de Lafontaine qui tenait un fromage; je connais tous les secrets d'ici, tous ceux qui sont venus, tous ceux qui sont partis, tous ceux qui sont restés et tous ceux qui jouent un rôle dans la pièce à Merlin.
Croyant, en lui jetant du pain, recevoir du grain, je te rassure il recevront demain le fruit de leurs semailles.

S'esquivant doucement, notre corbeau se changeât en écureuil, et sauta de branches en branches disparaissant sous une épaisse voilure de feuilles multicolores et chatoyantes.

Éberlué par cette insolite spectacle, un grand vent se lève tout à coup devant Poolevorde formant autour de lui un tourbillon emportant feuilles, poules, oiseaux, arbres et personnages. Tout disparaît.

- Coupez !
- Coupez, coupez ! criait la dame de cœur,
- Qu'on lui coupe la tête à cet avorton d'acteur !

Colbino, fier de son coup, se tenait fièrement à coté du trône de la redoutable reine des Zigomatiks.

Le vieux chêne se disait qu'il était peut-être temps de revenir dans sa forêt d'origine : il avait fait ce qu'il avait à faire ! Il avait ensemencé Rigolomania de ses précieux glands chaotiques créateurs d'espaces, générateurs de vies, d'humeurs joyeuses. …
C'est que la jeunesse il apprécie volontiers, mais les longs moments à rêvasser la tête dans les nuages lui apportent réconfort et repos …

- Ho'ooponopono .... Ho'ooponopono ..
Je suis désolé, Pardonnez-moi,
Merci, Je vous aime ...

Chantait le vieux chêne dans sa langue de bois ...
Il chantait pour sa forêt et toutes les forêts de tous les mondes environnants, sa voix portait aux tréfonds de l'espace et vibrait par delà notre système solaire. Urantia en avait des frissons de plaisir et l'accompagnait de sa voix cristalline.

- Aliiiine !!!
Colbino a crié, crié son nom
- Aliiiiineeeeee ....
Pour qu'elle revienne et - le croirez-vous - il a pleuré parce qu'il avait trop de peine ….
Dépeinte, effacée du sable mouillé, la mer qu'on voit danser le long des golfes clairs, traînait derrière ses sillons d'argent les dernières traces d'un dessin.
Christ chantait les strophes, Charles Trenet, sous le ciel d'été la confond avec les blancs moutons.

Moutons dorés et moutons en chocolat ….
- Ne me refais pas le coup du dessine moi un mouton
- Mouton en chocolat, mouton baba, mouton doré, mouton fêlé.
- Que choisis tu comme mouton : baba ou fêlé ?
- Fêlé je choisis, car ce mouton laisse passer la lumière ! Et le grand chêne en a bien besoin pour trouver le chemin du vortex qui le ramènera chez lui.

Luisant de tous ses feux, la porte du grand passage s'illuminait, indiquant la voie du grand retour, celle des retrouvailles tant attendues.

Un peu tendu quand même par une si longue attente, finalement Chêne s'introduisit dans le passage.

Un trou noir, plus aucune lumière, plus rien !

Rien de rien ! Noble chêne ne regrette rien ! Aspiré par le vaste trou noir, il part en valdingue et tremble de ses fous rires effrénés qui soudain éclairent le passage de milles feux multicolores.

Il monte, il monte si vite, si vite avec cet éclat de rire qu'il en a le souffle coupé.

Extase joyeuse ! Entouré de ses amis, une odeur bien connue de chez Soi parfumait le couloir du temps, un parfum de Maison embaumait le passage de ses embruns.

Embruns de mer, embruns d'éther, finalement il s'embruma les narines, puis le corps, puis la tête. Il était devenu toutes ces particules d'embruns et chaque particule étaient liée à lui mais libre : que c'était étrange comme sensation !
Une sensation d'ascension, sensation de liberté retrouvée !
Une légèreté de mouvement enveloppait notre aïeul d'une paire d'ailes arc en ciel

- V'là qu'on me colle des ailes ! Maugrée le Chêne vénérable !
- Ces humains sont fous ! Bientôt vont me transformer en chêne papillon !
- Chêne je suis, chêne je reste ! J'ai dit !

J'ai dit dans le subtil : pour le terrestre je te laisse tes chaînes. Elles te donnent tant de charmes, tout comme le coudrier porte des noisettes, le chêne a ses glands ; si l'écureuil s'y retrouve, le verrat aussi

Aussitôt, le chêne râleur dit :
- Non ! Je garde mes ailes. Je ne suis pas un chêne papillon je suis un chêne ailé. Et puis après tout, les ailes c'est pas pour voler dans les airs comme un papillon !
- C'est pour s'alléger comme la crème fouettée sur les gaufres de tante Suzette, préparées les jour de fête, avec un peu de confiture de cerises
- Cerises sur le vieux chêne ailé que je suis ! Et confiture en plus ! Chez bébête tante Suzette ? J'en ai de drôles d'idées depuis le passage du vortex !

- Mais à propos, ai-je fini mon voyage ? Un chêne ailé c'est pour être planté dans une nouvelle terre me semble-il et là je suis suspendu, pas encore enraciné dans l’éther.

Rien ne sert d'en réaliser un film, vierge sera la pellicule, même les frères d'Ardenne n'ont réussi cette vision, du chêne qui transcende le temps, de son essence qui passe à l'Or
Il n'y a plus de film, plus de pellicule - même vierge - après le passage du vortex;
- Je ne rêve plus
Se dit le vieux chêne ….
- Le temps du rêve est terminé, les ailes ont éteint les rêves, le jour est comme la nuit ….
FIN


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